Pour répondre aux enjeux
complexes (ex : faire plus avec moins) d'une DSI, pourquoi ne pas essayer une
organisation "libérée" ?
Dans ce billet, je vous
propose le début d'un modèle d'organisation mais c'est à vos collaborateurs de trouver leur chemin et à vous de les accompagner.
Mini-usines :
• Chaque « Mini-usine » doit
avoir une raison d’être (mission) et être redevable à au moins un client
• Les collaborateurs des
« Mini-usines » devront définir leurs règles du jeux et les signer
(librement consenties). Il s’agit de définir ce qui est acceptable et ce qui ne
l’est pas dans leurs relations, et quelles sanctions seront appliquées en cas
de non-observation de ces règles
• Les règles du jeu servent de
constitution pour la « Mini-usine »; Elles pourront évoluer en
fonction des besoins.
• Les collaborateurs devront élire leur
Leader
• Il est préconisé de limiter à 9
collaborateurs la taille des « Mini-usines ». Dans le cas contraire,
la « Mini-usine » pourra être divisée en zone.
• Un collaborateur pourra prendre en
charge plusieurs compétences
Principes d’efficacité
des Mini-usines
Les collaborateurs (modèle de Patrick Lencioni) :
•
Se font
mutuellement confiance,
•
Débattent
ouvertement de leurs idées,
•
S’engagent à
mettre en œuvre leurs décisions et leurs plans d’actions,
•
Se tiennent
mutuellement responsables de la mise en œuvre de ces plans,
•
Se
concentrent sur l’atteinte de résultats collectifs.
Réseaux de
compétence :
•
Les
collaborateurs exerçants les mêmes compétences au sein des différentes « Mini-usines »
seront regroupés en réseau de compétence.
•
Ces réseaux
de compétence servent à échanger sur les pratiques de la compétence et
d’entre-aide entre les membres.
•
Les membres
de chaque réseau pourront élire un Leader pour animer le réseau
•
La fonction
de Leader est une compétence particulière
"Quand les gens sont bien informés, on peut les laisser se gouverner eux-mêmes." Thomas Jefferson
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