En parcourant le
magazine Management d'Octobre, j'ai découvert un article sur Red
Hat et sa manière de gérer ses équipes mais également la communauté (les
bénévoles). Je vous invite à lire cet article qui pourrait vous donner des
idées. Les points essentiels de leur management sont :
-
l'autonomie : les développeurs peuvent chosir de travailler chez eux
-
l'écoute : une "mailing list" permet de faire remonter les doléances à la direction
-
la séduction : Red Hat va jusqu'à adapter ses projets pour attirer les codeurs bénévoles
-
le respect : des bénévoles "maltraités" pourraient partir, voir créer un projet concurrent.
Quand je vois la qualité des logiciels OpenSource, je me dis qu’il y a
sûrement des enseignements à apprendre des organisations qui les développent.
Ces logiciels sont pourtant développés par des équipés mixtes (interne et
externe), de cultures différentes, éloignées géographiquement et avec des
niveaux de compétences différentes. Il serait certainement très intéressant de
comparer le type de management classique et celui-ci de l’OpenSource sur le
développement d’un logiciel en mesurant la qualité du produit fini, la durée du
projet et le coût.
Par exemple pour constituer l’équipe, nous serions déjà sur des modes
opposés. D’un côté, le manager sélectionnerait ses meilleurs éléments et de
l’autre, une personne de l’équipe devrait vendre l’idée à ses collègues pour
qu’ils adhèrent librement au projet.
En attendant de voir un jour ce type de comparaison, nous pouvons
toujours les étudier et en tirer des enseignements pour les appliquer
ailleurs.
« La vie est courte
et les réunions peuvent être longues. Ne gâchez pas votre vie. » Jo
Owen
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